Forum test d'un chou et d'un sucre

    William O'Cahan ▬ ANGST.

    Akira
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    Akira
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    William O'Cahan






    ❯ FEAT :OC de l'artiste Re°.
    Carte d'Identitée

    William est un Rennen masculin qui nous éclaire de son intelligence depuis dix-huit ans. Cette personne croit qu'elle gagnera le prix de beauté parce qu'elle fait parti des angst . C'est plutôt quelqu'un de timide, paranoïaque mais vraiment gentil.

    ❯ NOM PRÉNOM : William O'Cahan.
    ❯ SURNOM : Inconnu
    ❯ DATE DE NAISSANCE : Inconnue, on ne sait que son âge
    ❯ NATIONALITÉ : Die Albträumer
    ❯ CLASSE SOCIAL : Pauvre.
    ❯ ORIENTATION SEXUELLE : Inconnue
    ❯ RACE : Angst
    ❯ MÉTIER/ÉTUDE : Inconnue.
    ❯ AVIS SUR LE CONSEILLE : Il ne connait clairement pas le conseil pour le moment (à changer lors des futurs RP).
    ❯ COULEURS DE PAROLE : #9999cc

    POUVOIR

    Il peut matérialiser les fantômes avec la pensée. Il n'est donc pas obligé de dire quoi que ce soit, cependant il faut qu'il soit vraiment concentré sur le fantôme en question sinon ça ne marchera pas. Il a comme un changement physique ses cheveux deviennent blancs et il a la peau encore plus blanche comme si lui aussi il était mort.

    Il peut matérialiser que trois fantômes en même temps. (Il n'a jamais essayer plus, mais à ne pas tenter, car trois ça le fatigue déjà beaucoup).

    Avantages :
    - Il peut donc aider les gens qui veulent voir une dernière fois leur proche et tout.
    - Si jamais il a besoin de quelqu'un au combat, suffit de trouver le fantôme idéal et tout.
    - Il peut les faire disparaitre à tout moment.

    Inconvénients :
    - ça le fatigue assez vite, s'il en matérialise trois d'un coup.
    - Il doit absolument connaître le prénom du défunt pour être bien concentré sur lui, car par exemple s'il pense à un fantôme catcheur hein, il y en a pas un de catcheur mort.
    - L'esprit ne doit pas se trouver à + de 1,2 km pour le matérialisé sinon bah ça ne marche pas. Ils ne peuvent pas trop s'éloigner sinon son pouvoir s'annule.

    En revanche s'il utilise son pouvoir trop longtemps ou qu'il est se met en colère, mais vraiment son pouvoir pourrait devenir incontrôlable et faire des dégâts autour de lui, mais sur lui-même aussi.


    ONCE UPON A TIME ... MY STORY

    Il existe une histoire, une histoire que personne ne connait. Il existe un petit garçon qui n’est pas connu. Un jeune garçon qui était humain et qui contre son gré est devenu un monstre.

    Cette histoire commence dans une petite maison, délabrée, les souris font leur vie sur le parquet, disparaissant quand les bruits de pas se font entendre. Des cris, des pleurs et encore des cris. Une femme qui hurle de douleur, un homme qui commence à avoir peur, puis des pleurs de nouveau. Un bébé. Son nom ? William. Cette femme ? Sa mère ? Cet homme ? Son père.

    Il n’a jamais compris pourquoi il était venu au monde, il n’a jamais compris pourquoi il était là, vivant, alors qu’on ne voulait pas de lui. Les parents de ce dernier étaient croyants, normalement les enfants sont les bienvenus, un cadeau de Dieu comme on le dit si souvent, malheureusement ce n’était pas le cas de William. Il était juste une erreur, un enfant qui n’aurait pas dû venir, mais quand sa mère s’est rendu compte qu’elle était enceinte, il était bien trop tard pour l’avortement et il n’était pas de bon ton selon la religion de faire une telle chose.

    Pourtant il a tout fait pour se faire aimer de ses parents, son père l’appréciait, il était présent, il faisait en sorte que sa femme et son enfant ne manque de rien. Sa mère ? C’était légèrement plus compliqué, elle l’ignorait, elle avait eu un enfant, mais à quoi bon avoir un enfant quand aucune aide n’est pas présente ? Quand l’argent n’est pas là. Elle était partie dans cette optique, si William ne pouvait pas rapporter d’argent, il n’était pas utile. William ne pourra jamais vraiment vous dire ce qui s’est passé chez lui, ce que son père et sa mère faisaient comme travail. Il n’a que très peu de souvenir, des brides très flou, des choses qu’il n’est pas sûr d’avoir vécu. Il se souvient surtout de son père qui partait extrêmement tôt de la maison et qui rentrait tout aussi tard, c’était comme ça du lundi au dimanche, jamais un jour de repos, était-ce bien légal ? William ne le savait pas, il n’aura jamais la chance de le savoir, mais son papa lui manquait terriblement, il n’avait pas le droit de sortir, il ne pouvait pas ouvrir la porte, ni s’approcher des fenêtres, il n’était qu’un tout petit garçon, mais il se demandait « suis-je vivant ? ». Est-ce qu’un jeune enfant devrait se poser cette question ? Non, mais ce n’était pas par envie, mais par choix.

    Il pourrait vous dire qu’il a souvent vu un deuxième homme venir à la maison, un homme qui était toujours dans la chambre de sa maman, sa maman avec cet homme, lui il était seul dans sa chambre. Ça serait un mensonge de dire qu’il n’était pas tenté de regarder par la fenêtre, mais il était bien trop petit pour l’atteindre. Il pleurait. Il était si petit, il n’aimait pas être seul, l’orage, le terrifiait, mais qui était là pour le réconforter ? Personne, il se savait seul, malgré l’amour de son père, il était seul. Un soir, alors qu’il essayait de dormir, il avait entendu son père parler, dire qu’il allait devenir riche, que lui et sa femme ainsi que son fils, ils allaient enfin pouvoir vivre convenablement, sans se cacher, quitter les bas quartiers et aller dans les quartiers de luxe. Un rire, puis des bruits, un grognement, des cris, puis le calme plat. Interdiction de sortir de sa chambre, mais un enfant de quatre peut-on vraiment l’empêcher de sortir lorsqu’il entend du mouvement qu’il n’a pas l’habitude d’entendre ? Il n’avait rien vu ou il n’avait pas eu le temps, mais il avait vu sa mère sourire, un drôle de sourire, mais ça faisait si longtemps qu’il ne l’avait pas vu sourire comme ça, qu’il était juste retourné dans sa chambre sans se poser plus de question que ça.

    Le lendemain la police vint sonner à la porte. Sa mère l’avait enfermé dans sa chambre et lui ordonna de se taire, de ne rien dire. De ne pas sortir, jusqu’à ce qu’elle lui ordonne. Il avait obéi, mais il avait tout entendu. C’était si compliqué d’obéir, c’était si compliqué pour un enfant de son âge, mais il ne voulait pas que sa mère soit en colère contre lui. Alors il était resté, il avait entendu que son pap n’était plus de son monde, au début il n’avait pas compris, mais il savait que cela voulait dire qu’il ne reviendrait pas. Par la suite l’homme qui venait souvent dans la chambre de sa mère venait de plus en plus souvent, il ‘était presque tous les jours-là. La mère de William avait beaucoup d’argent maintenant, mais que dit-on des personnes cupides ? Elles n’en ont jamais assez. C’était son cas.

    William n’avait que quatre ans quand il comprit que sa vie allait finir sans même qu’elle ait commencé.

    Un jour sa mère vint dans sa chambre pour lui dire qu’ils allaient faire une sortie à deux, il avait été si heureux ce jour-là, il allait enfin pouvoir sortir, voir le monde extérieur avec sa maman qui voulait enfin de lui. Mais sa joie fut de courte durée quand il comprit où il allait. Alors qu’ils traversaient un couloir sans fin, il entendait des cris, des hurlements de douleurs comme il n’en avait jamais entendu. Il avait si peur qu’il en pleurait, mais sa mère lui disait de se taire et d’être fort, qu’ils allaient s’amuser, alors il l’avait cru. Quand il fut emmené dans une pièce qui lui était inconnu et que sa mère était repartie avec une valise, il ne comprit pas tout de suite qu’elle n’allait jamais revenir. Il avait été sage comme elle lui avait dit, il avait écouté les hommes en blouses rouges.
    Par la suite tout ne fut que confusion, il avait été au début dans une salle, tout seul sans personne, mais bien vite il fut emmené avec d’autres enfants qui étaient en mauvais état. Il ne comprenait pas. Il voulait revoir sa mère au plus vite, mais quand il demandait sa mère, on lui disait qu’elle ne reviendrait pas. Il ne croyait pas à ça.

    Au fil du temps, il commençait à perdre espoir, il ne sait pas pourquoi, mais pendant longtemps il a cru que sa mère allait revenir, il y croyait, si les autres enfants y croyaient, alors pourquoi pas lui ? Mais au bout d’un moment il s’était fait à l’idée qu’il avait été abandonné, après tout sa mère ne l’avait jamais aimé, il était toujours tout seul, jamais elle ne reviendrait pour un être aussi insignifiant, un monstre.

    Pendant quatorze ans sa vie a été réglée pour qu’il essaye de survivre. Une vie où la loi du plus fort était présente. Il devait survivre même si pour cela il devait faire des choses qui n’étaient pas vraiment recommandable, une question lui trottait toujours dans la tête depuis qu’il avait appris que chaque parent qui avaient emmené leurs enfants ici, savaient de quoi il en retournait. Ils savaient très bien qu’ici, ce n’était pas juste un laboratoire comme les autres, mais toute une organisation pour en apprendre toujours plus sur les formules, créer des monstres qui n’avaient aucune conscience, faire en sorte qu’ils n’aient plus aucune identité. Il s’était toujours demandé si sa mère en était capable, mais il n’en était pas sûr. Il ne voulait pas y croire même s’il avait grandi.

    Lors de son séjour il a connu des personnes qui ont marqué son esprit en bien comme en mal. Les plus forts étaient toujours récompenser, ils avaient droit à des choses que lui il n’avait jamais eu. Il avait connu le fameux Andrey (membre du conseil, mais il ne le sait pas encore), le grand scientifique qui avait fait les expériences passait souvent pour faire les injections, il se voulait rassurant, il voulait faire croire que tout ce qu’il faisait été pour le bien de tous et non pour faire des expériences étranges, mais comment William pouvait croire ça ? Alors qu’à chaque fois qu’il venait faire ses injections, il se sentait toujours de plus en plus mal. Il se sentait tellement sale. Il sentait qu’il n’aurait jamais dû vivre dès le départ.

    Des voix.
    Des cris.
    Des pleurs.
    De la haine.


    C’était son lot quotidien. Il entendait des choses que personne ne pouvait entendre, il voyait les personnes qu’il avait côtoyé petit, mais ils étaient morts, il les voyait comme il voyait chaque semaine ce scientifique de malheur.

    Le jour de ses dix-huit ans, il avait été relâché. Il ne sait pas pourquoi, mais il était enfin libre, il ne sait pas si c’était une bonne nouvelle ou non, il avait déjà vu des gens partir, puis revenir, mais ils étaient morts. Est-ce que cela allait lui arriver ? Devait-il échappé à ce destin funeste ? Il sait juste qu’on lui avait dit qu’il avait été un échec et qu’il avait le droit de partir de toute façon, il n’avait aucune existence parmi ce monde, il était donc normal que personne ne pourrait le croire s’il allait en parler.
    Il le savait aussi.

    C’est ainsi que la vie de William allait commencer, mais pour combien de temps, mais surtout à quel prix allait-il payé cette nouvelle vie qui s’offrait à lui ?



    PSYCHOLOGIE

    Pour commencer, je tiens à dire qu’il n’a pas été facile d’avoir des renseignements. Il y a des choses que nous sommes prêts à faire pour avoir des informations qu’on ne devrait pas faire.

    Si je me fis à ce que j’ai lu dans le dossier, ce jeune homme William n’a aucune existence dans le monde actuel, il est terriblement timide, une timidité maladive comme on pourrait le dire. Il ne parle quasiment jamais, il n’ose pas regarder les personnes dans les yeux, il fuira tout contact visuel ou tout contact verbal s’il n’est pas à l’aise, ce qui arrive généralement assez souvent.

    Nous pouvons aussi constater qu’il est naïf, extrêmement naïf, on peut lui faire croire tout et n’importe quoi, il croit tout ce qu’on lui dit, pourtant son intelligence n’est pas limitée. Il sait des choses que sans doute nous ignorons, mais le monde qui l’entoure lui semble totalement inconnu. Heureusement avec le temps il a su reconnaitre le vrai du faux, mais ce n’est pas encore ça. Il est aussi très curieux, il s’extasie en secret sur tout ce qu’il voit, une horloge en forme de hibou pour nous est quelque chose de banal pour lui cela fait partie d’une septième merveille du monde. Il peut regarder un objet pendant des heures sans jamais se lasser, jusqu’à comprendre tout le mécanisme qui l’entoure.

    Malgré le fait qu’il semble intelligent, il est une compréhension du monde assez limité. Il ne semble pas vraiment discerner le bien du mal. Ce qui est quelque chose de bien chez nous pourrait être quelque chose de mal chez lui et ainsi de suite. Ce n’est pas pour ça qu’il faut le prendre pour un simplet, il y a des choses où il ne vaut mieux pas l’énerver.
    Il semble aussi réglé comme une horloge pour les choses quotidiennes de la vie, il va prendre sa douche à une certaine heure, pas une minute avant, pas une minute après, de même pour les repas et pour beaucoup de choses encore. Si par malheur quelque chose l’empêche de faire ce qu’il faut au moment où il devrait le faire, il part en crise d’angoisse d’une ampleur démesurée qui est très difficile d’arrêter.

    La paranoïa fait partie intégrante de sa vie, il ne fait confiance à personne et il ne veut pas qu’on lui fasse confiance. Il est du genre loup solitaire, rester seul ne le dérange pas, il semble même apprécier la solitude. Il ne veut pas d’histoire, si vous ne l’embêtez pas, il ne vous embêtera pas. Il est du genre à regarder sept fois derrière lui en même pas une minute, il a l’impression que tout le monde parle de lui et il ne pourrait pas l’expliquer. Il veut se cacher autant que possible, faire en sorte qu’il n’existe pas, mais il lui est difficile de rester dans un trou de souris comme dans son ancienne vie, s’il est dehors, c’est pour une bonne raison sans doute.

    Il est d’après deux trois personnes qu’il a rencontré depuis qu’il se balade en ville, une personne sincère, il ne ment pas, il dit la vérité quoi qu’il en coûte même si cela est blessant, mais cela vient sans doute du fait qu’il ne sait pas faire la différence entre le mal et le bien, il ne sait pas qu’il y a des choses qu’on ne doit pas dire. Des choses qu’on doit garder pour nous. Malgré ça, je pense qu’il faudrait faire attention à ce qu’il fait, il pourrait très bien poignarder dans le dos la personne avec qui il traine.

    Je ne l’ai vu qu’une ou deux fois, mais derrière cette attitude innocente, je ressens quelque chose de vraiment sombre, de dangereux, comme si à tout moment il pouvait tuer sans crier garde, comme s’il était capable du pire qu’un être humain voir un Angst pourrait faire et malheureusement ce ressenti ne vient pas de sa race, mais belle et bien de sa façon d’agir malgré lui.

    Outre le fait qu’il ait des tendances bizarres à toujours tout découvrir, il aime beaucoup lire, mais vous ne le verrez jamais écrire. De ce que j’ai lu il ne sait pas écrire. Même une simple signature il ne pourrait pas le faire. Cependant lire des textes avec des mots qui ne sont pas communs, il sait le faire.

    C’est tout ce que je pourrai dire pour l’instant, ce qu’il aime ou déteste reste un mystère. En tout cas, c’est une personne qui mérite qu’on fasse attention à ses faits et gestes qu’importe l’endroit où il va.



    PHYSIQUE

    Selon les renseignements du dossier William ferait 1m70 pour 50 kilos. Il a l’allure qu’un Angst doit avoir, une peau pâle tel un cadavre, des cheveux d’un noir ébène que même le charbon en serait jaloux. Les yeux noirs, un noir si profond qu’on aurait peur de tomber dans un cauchemar si on s’y noyait.

    Cependant malgré le fait qu’il soit un Angst sa peau semble vraiment plus pâle que la moyenne et on ne pourrait expliquer le pourquoi du comment, comme le fait qu’il est d’une maigreur affligeante, mais il est doté d’une force peu commune. Comme quoi il ne faut pas se fier aux apparences. Sa chevelure est mi-longue, les cheveux extrêmement fins, doux, soyeux, ils se retrouvent malheureusement souvent devant son visage, il se cache derrière tout ça, ses yeux qui glacent le sang malgré son air si innocent ne sont que très peu visible.

    Les traits de son visage sont fins, cependant il semble « marqué » par des événements encore inconnus. Malgré ça, on pourrait dire qu’il a un visage plutôt beau. Aucune imperfection de type boutons ect, juste de légères cicatrices qu’on ne voit que si on s’approche réellement de lui, qu’on lui soulève ces cheveux qui cachent son faciès. Si nous nous attardons sur le reste de son corps nous pouvons remarquer que nous ne voyons pas grand-chose, il porte toujours des vêtements trois fois trop grand pour lui, du blanc, du bleu ciel, un jean, un t-shirt, une chemise ou un pull, une paire de converse et c’est tout. Aucune extravagance, pas de bijoux, pas de tatouage apparent.

    Il y a une caractéristique physique qui a été noté sur son dossier, lors de certains événements qui n’ont pas encore été expliqué il aurait parfois les cheveux blancs, les cils blancs, sa peau devenant encore plus pâle que la normale, cela ne reste jamais longtemps, mais quand ça arrive, il semble être une toute autre personne. On ne pourrait pas l’expliquer.

    Il y aurait des cicatrices présentes sur la majorité de son corps, un corps mutilé, sur des radios nous avons aussi pu constater qu’il avait eu plusieurs os brisés qui ont été soignés de façon précaire. Cela pourrait sans doute engendrer quelques problèmes physiques que nous n’avons pas encore remarqué.


    Yeah Geek Power !!!


    Pseudo : William.
    Tu as quel âge ? 24 ans.
    Tu nous a trouvé où ? Des barres.
    Et t'en penses quoi ? Des barres.
    T'as un autre compte ? Lequel ? Toujours des barres.
    T'as pas un truc à nous dire hein ? Je m'auto-valide.
    Mais encore ? *o* Bah encore des barres.


    ©️ Never-Utopia par Koalz
      La date/heure actuelle est Ven 17 Mai - 8:52